Facilitations : Un accompagnement dans la résonance !

La facilitation est ce tiers qui accompagne dans le cheminement, regard extérieur et apport de conseil. Elle peut être faite via la formation (prendre forme en se formant), mais pas toujours. Parfois, il faudra des projets ou actions qui nous aident à concrétiser et/ou à nous dépasser dans nos organisations ou dans la société.

Je propose donc de vous aider à incarner votre projet, c’est-à-dire, à le faire vivre en actes, à faire des choix et à agir pour le mener à bien en suscitant et favorisant autonomisation et responsabilisation.

Pour se faire, le cadre d’accompagnement sera co-définit et aura pour objectif votre « prise » en main de votre projet en vous aidant à décider, à inventer, à consolider, à développer, à évaluer, à prendre de la distance pour le penser… Cet accompagnement tiendra compte de trois principes éthiques, à savoir : le principe de responsabilité, le principe de retenue et le principe du doute.

A mon sens, la facilitation se situe ici dans un processus de reconnaissance et de résonance. Pour ce faire, j’ai choisi une aventure expérimentale qui a pour nom de code : Les Compagnons de l’Archipel. Afin de construire ensemble, avec, par et pour les acteurs de la transition (écologique, économique, sociale, environnementale, politique…) dans un processus qui cherche la cohérence entre le fond et la forme, nous parlons d’être nous-mêmes dans une posture archipélique, inspirée des travaux d’Eduard Glissant, qui fait référence à l’identité racine des organisations et à leur identité relation pour constituer un ensemble vivant, organique, métisse…

Dans les outils de facilitation que j’utilise principalement se trouvent les outils de la reconnaissance de l’altérité et de soi-même : Résonances.

Ce travail sera la base dans les 5 « capabilités » que développe Paul Ricoeur dans ses travaux qui
préfigurent une reconnaissance en actes -> émerger dans la réalité :

  • Dire,
  • Faire,
  • Raconter (se),
  • Promettre
  • Attester (s)
    Par exemple dans l’ancrage dans la mémoire, explicitation des promesses, formulation permanente de
    l’identité narrative, responsabilités assumées, respect des paroles…